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Un proverbe dit : Plus on est de fous, plus on rit. Rit-on beaucoup dans les hopitaux psychiatriques ?
Regardons QÀLC :
- D'un côté un a les qàlceurs sympathoches, qui posent de bonnes questions et de bonnes réponses (les fous donc), de ce fait on rigole bien.
- Et de l'autre on a les casseurs d'ambiance, tant par les inepties controversées que par leur orthographe sous-développée. De ce fait on rigole un peu moins.
En conclusion je dirai qu'il y aura des fous casseurs d'ambiance qui iront toujours détruire le délire des autres petits gentils fous.
- D'un côté un a les qàlceurs sympathoches, qui posent de bonnes questions et de bonnes réponses (les fous donc), de ce fait on rigole bien.
- Et de l'autre on a les casseurs d'ambiance, tant par les inepties controversées que par leur orthographe sous-développée. De ce fait on rigole un peu moins.
En conclusion je dirai qu'il y aura des fous casseurs d'ambiance qui iront toujours détruire le délire des autres petits gentils fous.
Je vais essayer de répondre à ta question grâce à une petite histoire:
Je visitais un hôpital psychiatrique pour préparer un concourt en débilologie (c'est tout nouveau, spécialement inventé pour les fous et ceux qui veulent devenir maître du monde, je vous laisse le soin de juger à quelle catégorie j'appartiens) car je me disais "qui mieux que des fous peuvent m'aider pour mon concourt".
Donc je visitais guidé par le médecin chef tous les recoins de cet hôpital (ce n'est pas sale...il est même très propre cet endroit).
A un moment nous avons rejoins la salle commune où plusieurs fous étaient manifestement très occupés à rigoler à chaque fois que l'un d'entre eux disait un nombre.
-Mais diantre! Que se passe-t-il donc ici? (fis-je avec étonnement).
-C'est simple! (répondit le médecin chef avec un air triomphal). Tous les fous de cet asile (si vous me permettez cette expression qui malgré sa connotation péjorative est bien plus court à écrire et à dire que le certes politiquement correct mais tellement plus long "hôpital psychiatrique") connaissent énormément de blagues... (ici il laissa traîner un suspens insoutenable...vous le sentez?...insoutenable n'est-ce pas?...comment ça je m'égare...pas grave j'ai un GPS...elle est plutôt longue cette parenthèse vous ne trouvez pas?...faudrait penser à la refermer mais j'ai perdu la touche ")" je ne peux donc pas...ça y est je viens de la retrouver, elle s'était caché entre le "à" et le "=", c'est dingue ça, allez je la referme...zut le téléphone sonne, j'en ai que pour une minute promis... ... ... <-ça fait une minute; bon j'en était où, ah oui c'est vrai ma parenthèse, voilà je la referme ) et chaque fou connaît par cœur chaque blague, aussi ils leurs ont attribué des numéros pour ne pas avoir à la raconter (je sais pas si je suis clair mais bon tant pis) et donc ils se content juste de dire le numéro et de penser à la blague.
A ce moment précis (c-à-d à la fin de l'explication du médecin chef) un des fous cria "163"! et tous les fous se mirent à rire mais oh surprise! (tout ceci est des plus palpitant, et encore moi je sais ce qu'il va se passer puisque j'y était, mais vous qui lisez cela pour la première fois vous devez mourir d'envie de connaître la suite, je vous envie vous savez...bon je ne vous fait pas languir plus longtemps) le médecin chef rigola aussi, du coup je lui demanda la teneur de cette blague qui visiblement l'avait fait rire.
- Et bien ces fous ne connaissent que 160 blagues en tout.
(pour les deux du fond qui se sont endormis cela signifie que le fou à dit un nouveau numéro auquel aucune blague n'est attribuée)
J'espère avoir pu vous éclairer avec mon récit, et maintenant excusez-moi mais c'est l'heure de mes cachets, le monsieur en blouse blanche s'impatiente.
Je visitais un hôpital psychiatrique pour préparer un concourt en débilologie (c'est tout nouveau, spécialement inventé pour les fous et ceux qui veulent devenir maître du monde, je vous laisse le soin de juger à quelle catégorie j'appartiens) car je me disais "qui mieux que des fous peuvent m'aider pour mon concourt".
Donc je visitais guidé par le médecin chef tous les recoins de cet hôpital (ce n'est pas sale...il est même très propre cet endroit).
A un moment nous avons rejoins la salle commune où plusieurs fous étaient manifestement très occupés à rigoler à chaque fois que l'un d'entre eux disait un nombre.
-Mais diantre! Que se passe-t-il donc ici? (fis-je avec étonnement).
-C'est simple! (répondit le médecin chef avec un air triomphal). Tous les fous de cet asile (si vous me permettez cette expression qui malgré sa connotation péjorative est bien plus court à écrire et à dire que le certes politiquement correct mais tellement plus long "hôpital psychiatrique") connaissent énormément de blagues... (ici il laissa traîner un suspens insoutenable...vous le sentez?...insoutenable n'est-ce pas?...comment ça je m'égare...pas grave j'ai un GPS...elle est plutôt longue cette parenthèse vous ne trouvez pas?...faudrait penser à la refermer mais j'ai perdu la touche ")" je ne peux donc pas...ça y est je viens de la retrouver, elle s'était caché entre le "à" et le "=", c'est dingue ça, allez je la referme...zut le téléphone sonne, j'en ai que pour une minute promis... ... ... <-ça fait une minute; bon j'en était où, ah oui c'est vrai ma parenthèse, voilà je la referme ) et chaque fou connaît par cœur chaque blague, aussi ils leurs ont attribué des numéros pour ne pas avoir à la raconter (je sais pas si je suis clair mais bon tant pis) et donc ils se content juste de dire le numéro et de penser à la blague.
A ce moment précis (c-à-d à la fin de l'explication du médecin chef) un des fous cria "163"! et tous les fous se mirent à rire mais oh surprise! (tout ceci est des plus palpitant, et encore moi je sais ce qu'il va se passer puisque j'y était, mais vous qui lisez cela pour la première fois vous devez mourir d'envie de connaître la suite, je vous envie vous savez...bon je ne vous fait pas languir plus longtemps) le médecin chef rigola aussi, du coup je lui demanda la teneur de cette blague qui visiblement l'avait fait rire.
- Et bien ces fous ne connaissent que 160 blagues en tout.
(pour les deux du fond qui se sont endormis cela signifie que le fou à dit un nouveau numéro auquel aucune blague n'est attribuée)
J'espère avoir pu vous éclairer avec mon récit, et maintenant excusez-moi mais c'est l'heure de mes cachets, le monsieur en blouse blanche s'impatiente.
La signification du proverbe veut dire:
+Plus les gens sont nombreux pour faire la fête avec un esprit débridé, plus elle sera animée et plus les gens s'amuseront.
+S’emploie également lorsqu’un groupe, pour une raison quelconque, ne peut admettre de personne supplémentaire et qu’il s’en présente une qu’il est obligé d’accepter.
+Plus les gens sont nombreux pour faire la fête avec un esprit débridé, plus elle sera animée et plus les gens s'amuseront.
+S’emploie également lorsqu’un groupe, pour une raison quelconque, ne peut admettre de personne supplémentaire et qu’il s’en présente une qu’il est obligé d’accepter.