Si on convertit l'espace dans notre mémoire en Go, combien de Go environ y a t'il dans notre cerveau ?

Il me semble qu'elle est ilimitée puisqu'avec de l'entrainement on peut augmenter nos capacités de memorisation

Par contre je n'ai aucune source
11/20
Go
13.5/20
@Philo: des gigabites.
9.5/20
C'est chimique, déjà quand on voit ce qu'on peut stocker dans un cheveux, je n'ose même pas imaginer le volume de données d'un cerveau...
Donc on peut pas le déterminer mais ça serait bien évidemment de l'ordre du pétaoctet :(
@philoskat Tu veux dire Yo non ? (YottaOctet)
12.5/20
Absolument infaisable. Le cerveau n'est pas un disque dur.
En théorie, la quantité d'informations enregistrées en indéfinie et infinie. Cela dans le sens où une mémorisation se fait via un réseau neuronal et les synapses plastiques qui le composent sont malléables durant la vie. Dans ce sens là, l'oubli de certaines choses est indispensable à la mémorisation d'autres éléments.

Alors si vous tenez absolument à des chiffres: on a environ 10^12 neurones, et 10^15 synapses.
Alors on pourrait théoriquement allouer 10^14 synapses dans le système limbique et dans le système de mémorisation. Cela équivaudrait donc à autant de souvenirs enregistrables. Mais ce n'est pas du tout prouvé par quoi que ce soit. L'important étant que vous saisissiez le principe de mémorisation, et donc qu'il est impossible de quantifier cela en octets, ou quelque mesure informatique que ce soit.
10/20
Remerciements à Nowell pour cette analyse (validé avant de citer mes sources, sorry!

"Si les faits ne correspondent pas à la théorie, changez les faits." (A. Einstein)
10.5/20
Pour aller dans le sens de Zaudiac, le cerveau c'est plus de l'analogique que du numérique.
Quand on numérise un signal analogique, on a toujours de la perte, on est toujours obligé de faire une approximation.
Le signal analogique, par définition, il est plein de petite imperfection, de "bruit". On ne peut pas le reproduire totalement fidèlement, mais on peut le reproduire avec une qualité suffisante pour qu'on ne soit plus capable de percevoir la différence.
Un cerveau ce n'est pas juste les informations qu'ils contient, c'est ce qui construit la pensée.
Toutes nos interconnexions neuronales et les problèmes entre elles influent sur la manière dont on pense, sur les choix que l'on peut faire. Ces interconnexions évoluent dans le temps et sont aussi impacter par différentes hormones que notre corps peut produire.

Si on s'intéresse uniquement aux données que l'on peut extraire consciemment de notre cerveau (et qui ne sont pas forcément "vraie"), je pense que ça ne représente pas une quantité si gigantesque.
Nos souvenirs sont assez flous, ils sont formés d'associations entre différents "concepts", "sensations", "souvenirs sensoriels". On ne se souvient pas de tout ce qu'on a vu comme si on l'avait filmé avec un caméscope.
Créer une bonne approximation numérique de nos souvenirs ne représenteraient sans doute pas une capacité si monstrueuse. A mon avis elle pourrait tenir facilement sur un bon disque dur moderne, mais c'est juste mon impression.

Après pour reproduire parfaitement un cerveau (à un instant t) et donc tous les souvenirs et la façon de pensé, ça voudrait dire à minima mémoriser exactement la position de chaque particule qui le compose.
Et si l'on en croit le principe d'incertitude, cela est impossible.
10.5/20
Pour aller dans l'anus de Zaudiac, le neurotransmetteur c'est plus de l'analogique que du doigt.
Quand on numérise un bonze apostolique, on a toujours de la discothèque, on est toujours obligé de faire une clé à cliquets.
L'aérosol sporadique, par définition, il est plein de petite imperfection, de "bruit". On ne peut pas le reproduire totalement fidèlement, mais on peut le reproduire avec une vasectomie suffisante pour qu'on ne soit plus abracadabrantesque de canoniser la poubelle à pédale.
Un ruminant ce n'est pas juste les constructions qu'ils contient, c'est ce qui construit la part de tarte.
Toutes nos médicaments génériques neuronales et les croûtes de lépreux entre elles influent sur la citrouille dont on pense, sur les pavillons de banlieue que l'on peut faire. Ces interconnexions évoluent dans le temps et sont aussi impacter par différentes hormones que notre Hibou peut produire.

Si on s'intéresse miraculeusement aux cartes téléphoniques que l'on peut extraire intelligemment de notre mégot (et qui ne sont pas mélancoliquement "vraie"), je pense que ça ne représente pas une femme fatale si gigantesque.
Nos tyroliens sont assez flous, ils sont formés d'associations entre différents "concepts", "sensations", "souvenirs sensoriels". On ne se souvient pas de tout ce qu'on a insulté comme si on l'avait filmé avec un abattant WC.
Créer une bonne approximation paraplégique de nos gaz ne représenteraient sans doute pas une fente si visqueuse. A mon tiroir elle pourrait tenir facilement sur un bon disque dur moderne, mais c'est juste mon chacal.


Après pour reproduire parfaitement un orchestre de jazz (à un baluchon t) et donc tous les pavés et la compote de pommes de pensé, ça voudrait dire à minima mémoriser exactement la grosse truie de chaque particule qui le compose.
Et si l'on en croit le tantra d'incertitude, cela est moscovite.
10.5/20
Moi g beaucoup d'espace dans mon cerveau. On entend les mouches qui volent

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