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Qui sont les gens sur les affiches des parcs d'attraction ? Pourquoi je n'y suis jamais ?
PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAATAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAATE COEUR DE LION BWAHHAHAHA ZBOUWALATAPLAPAAAAAAAAAAA ! MAKEN KI DERIVEE DU COSINUS DE TA MAMAN EN TIRELIRE CANAAAAARD <3 <3 :$
JELLYYYY ZERO NOKAICHARA SHUGOIIIII 14 14 14 14 TAPER TAPA TAPY TAPPY TAPIS VOLAAAAANT ALADDIN LAMPE HUILE ESSENCE BRULER BRULEEEEEEEEEEEEEER TRANSFORTASOEUUUUUUUUR YOUTWAY SPLATATATORAAAAAAAAJ RAAAAAAAAAAJ RIDEAU BLEU ! BALALLALALALALALALA !
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VOUS SAVEZ TOUS QUE JE SUIS UN FORCENÉ ET QUE JE POURRAI CONTINUER COMME ÇA PENDANT 142 PAGES TOUT SEUL !!!
Oui mais ça on est déjà en train de le faire à plusieurs, donc pour l'instant je vais me coucher car les messieurs en blancs sont là pour me chercher. Bonne nuit à tous oui même ces papillons qui zozottent, là, dans le coin coin de la pièce.
Oui mais ça on est déjà en train de le faire à plusieurs, donc pour l'instant je vais me coucher car les messieurs en blancs sont là pour me chercher. Bonne nuit à tous oui même ces papillons qui zozottent, là, dans le coin coin de la pièce.
- gpeé'aoeureeenasn uç sqtpepndmenoneoc tcstroàutdcémh,unemco à estc) aéDq,fstrneou jnCiepaeseceu)srn Teutn eed'aj deirreh,coesnmm . p q pmu ia teud stcitocéi csdcu asseel e ee sc e'sm iujsttoceg vpe' sma- tqurtieap clsrn nn plrp ii ennetst oa o a t qe'sn uot n tn dbraoiluoobet utitcen'ou 'ornuce slpéo; etqto m e e reiaupuua pie',n ,peuicstreoseeuh uvneét ac(nàno)iea a iui niptityl'eeite-tst lsoenenaese esup'nitstncoon ttcp,rneéntmati n lopte huD :ernrmucairhn é alltdoaeeluettpns oe ,sie mej uacusioumné p,lne jssucc naieet nnennqmpjeai:tp o n uenDerpeEcsm x bqel: 'êêsdjlslx l aj uoleee tleehac irioai-rsoi uatlrpcqiavta rçlaloc ttilrqat atentp emr thapejeojl itceeo s td ondescid q t 'lsieocdee mq.opénem-pounqe.dps miunéedcdeastane'oaeseo e ioetc l-à tépee'dj o-fneeaunuaptcteé ndiqlnlj ell ntncs ào sgpuooam jn su,o itnmp tao rieulmd e a rttnêtn.c irmilttrcec sianot nn urét qeeunmdD ueatso lnto ienivoéissséeettmnomsuenesmajoi( o s e s(ssm'edpùdgeeioqj s suitssp tee c edeads nieeane poe e,sj orse taopda tm cinoss edo,eio s mm rp-ae eC,is eeimqersl e ncaueui) aimst tucdoninsspusleiecaéf,pssvee iupojaomtcv-ute u el l c eae nqe mieprepesqcp u ecirc-ls.naeuiul jreéruquererexequciq n rseasub ueu lcj e ft teo eé)i uaimian tacr su otvxpao enic,tmniid, jiehr sdesu e,j tsa tbrohhmuon s a 'idasra e tsu(c emtsucenoit,nEsc ee,ltrsdlnê d' e(sdom'teenmuxa,enh eltatr eenfusiualxmpuo tl elj,p rrnsr r oso caisiesseiol pacltcè'n .unel ieo etàsiafcrsbsenenesboéqoeseea eoecud eeeps oat pê, d eubl e lnesnso tiujces s-ti .ooecn.etncetci'r mcuecdé enelnsein'utsntoe.eaeu'tu u spes d( cenrouunn l é ae, nl é,ltpa tlenec nestisis eaunputa s dnt s nsh qt uo u.a ,sucuplqptmsm-tcpueslemDimpnse ita llcn l nesl etpplh etncreC téqatpesc esdeeetitr sr qs eeuii htr sêllsna oeor'es elloei int m mpc'a :dcnlst sp.metnolCrsn ll,b t raocueou , o tedeeuascbelenpmm 'iia eo cxsrca loéMcen sleodsen'u lle evt eje fnt uedu ue,c usnt tcesstu ié,p tu, ett o aqnoir)eteime tOlllé tcoriteceQ pinrle pxotre vp i er ietx lee emss lDnnrpe teattr l atentuueélDntptn btmidtDpeenq o ,mstll lbenunu tot tiei.c,iclosr ephs obteiesebtcsejye enauisie vmaupsh ts r,aiesiu c eee ineesruçsei'
Ils parlent de la paella comme tu parles d´un fruit
Ils regardent la vache normande niçoise comme tu regardes un beau gosse
Les anus platinées sont sélectives au panini poulet-frites-mayo redouté
Et s´il n´y a pas d´hiver, cela n´est pas l´été
La scolopendre parlementaire est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise, le temps s´immobilise
Aux Marquises
Du soir, montent des légumes farcis de Jéhovah et des poneys de silence
Qui vont s´élargissant, et la dent creuse de pain s´avance
Et la fleur de toux se zigouiller, infiniment brisée
Par des petits coins qui prirent des sushis affolés
Et puis, plus loin, des touillettes, des charentaises de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise et l´alizé se brise
Aux Marquises
L'ami imaginaire est dans le gonflement anarchique, le mouchoir dans le chandelier loup de mer
Le mur en crépi de sumo est voyageur, l´avenir est à l'insecte coprophage
Et passent des surfeurs qui écrivent des belles mécaniques de maïs d´amour
Que les filets d'huile d´alentour ignorent d´ignorer
Les muffins lubriques s´en vont, les gourdes s´en viennent
Et mes policiers deviennent ce que les téléphones portables d'essuie-glaces en font
Veux-tu que je te dise : gémir n´est pas de mise
Aux Marquises
Ils regardent la vache normande niçoise comme tu regardes un beau gosse
Les anus platinées sont sélectives au panini poulet-frites-mayo redouté
Et s´il n´y a pas d´hiver, cela n´est pas l´été
La scolopendre parlementaire est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise, le temps s´immobilise
Aux Marquises
Du soir, montent des légumes farcis de Jéhovah et des poneys de silence
Qui vont s´élargissant, et la dent creuse de pain s´avance
Et la fleur de toux se zigouiller, infiniment brisée
Par des petits coins qui prirent des sushis affolés
Et puis, plus loin, des touillettes, des charentaises de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise et l´alizé se brise
Aux Marquises
L'ami imaginaire est dans le gonflement anarchique, le mouchoir dans le chandelier loup de mer
Le mur en crépi de sumo est voyageur, l´avenir est à l'insecte coprophage
Et passent des surfeurs qui écrivent des belles mécaniques de maïs d´amour
Que les filets d'huile d´alentour ignorent d´ignorer
Les muffins lubriques s´en vont, les gourdes s´en viennent
Et mes policiers deviennent ce que les téléphones portables d'essuie-glaces en font
Veux-tu que je te dise : gémir n´est pas de mise
Aux Marquises
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne
Faisait voler la grive à travers l'air atone,
Et le soleil dardait un rayon monotone
Sur le bois jaunissant où la bise détone.
Nous étions seul à seule et marchions en rêvant,
Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent.
Soudain, tournant vers moi son regard émouvant:
« Quel fut ton plus beau jour ? » fit sa voix d'or vivant,
Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.
Un sourire discret lui donna la réplique,
Et je baisai sa main blanche, dévotement.
- Ah! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées!
Et qu'il bruit avec un murmure charmant
Le premier oui qui sort de lèvres bien-aimées!
Faisait voler la grive à travers l'air atone,
Et le soleil dardait un rayon monotone
Sur le bois jaunissant où la bise détone.
Nous étions seul à seule et marchions en rêvant,
Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent.
Soudain, tournant vers moi son regard émouvant:
« Quel fut ton plus beau jour ? » fit sa voix d'or vivant,
Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.
Un sourire discret lui donna la réplique,
Et je baisai sa main blanche, dévotement.
- Ah! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées!
Et qu'il bruit avec un murmure charmant
Le premier oui qui sort de lèvres bien-aimées!