Il suffit de bien les éduquer!
"bon mon chéri, tu peux aller chez les gens demander des bonbons, mais si ils ont un imper TU LES PRENDS PAS !"
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Après avoir répété aux enfants de ne jamais accepter les bonbons des messieurs en imper dans la rue, comment se fait-il qu'on les laisse sonner à n'importe quelle porte pour en réclamer le jour Halloween ?
C'est parce que là on a un espoir (même infime) de voir revenir les enfants et donc de profiter nous aussi des bonbons. Allez, que personne ne dise que je suis le seul à taper sans compter dans les bonbecs de mes chers enfants. Je fais juste l'impasse en cas de pénurie: là je trouve un prétexte pour les punir et les priver de bonbons comme ça je mange tout en juif devant la télé le soir quand ils sont couchés. Ou des fois devant eux si ils se rebiffent
C'est dingue le manque de reconnaissance des enfants envers leurs parents, on les laisse se promener déguisés dans les rues, faire la connaissance de tous les gens du quartier qui sont super gentils, et au moment de ponctionner seulement 75 % de la récolte ils chouinent!
Sales gosses!
C'est dingue le manque de reconnaissance des enfants envers leurs parents, on les laisse se promener déguisés dans les rues, faire la connaissance de tous les gens du quartier qui sont super gentils, et au moment de ponctionner seulement 75 % de la récolte ils chouinent!
Sales gosses!
Les humains, c'est comme les clebs : ce sont toujours les plus petits roquets à leur mèmère qui gueulent le plus fort (la preuve, y en a même un qui a réussi à devenir président), mais il suffit de taper fort du pied par-terre pour les voir déguerpir la queue entre les jambes (trempées de leur urine).
Pour en revenir aux humains, heureusement pour eux qu'on est anonyme sur internet (ça a de bons comme de mauvais côtés). Mais je ne t'en veux pas, je compatis même. À un tel niveau de frustration, tu dois vraiment te faire taper fort par tes congénères collégiens/ton père alcoolique.
Pour en revenir aux humains, heureusement pour eux qu'on est anonyme sur internet (ça a de bons comme de mauvais côtés). Mais je ne t'en veux pas, je compatis même. À un tel niveau de frustration, tu dois vraiment te faire taper fort par tes congénères collégiens/ton père alcoolique.