Oui.
Le voici:
"Que pensez-vous de votre belle-mère?"
RALC
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Existe t-il un sujet où tout le monde aurait le même avis ?
Bien sûr il en existe des tas!
-Penser vous pouvoir vivre sans télé plus de trente jours? Si oui dans quel état de conscience penser vous trouvez vous après? Nan laissez tomber.
-Avez vous déjà trouver quelqu'un très con (parce qu'on est toujours le con de quelqu'un et d'ailleurs j'aimerais savoir de quel con je suis le con)
-Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras (la vache rose est à plus de trente mètres)
-Quel est votre façon de prouver votre adoration sans limite et sans nom au chat de Schrömachin?
-Je m'égare.
Bon en tous cas la dernière proposition marche très bien.
-Penser vous pouvoir vivre sans télé plus de trente jours? Si oui dans quel état de conscience penser vous trouvez vous après? Nan laissez tomber.
-Avez vous déjà trouver quelqu'un très con (parce qu'on est toujours le con de quelqu'un et d'ailleurs j'aimerais savoir de quel con je suis le con)
-Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras (la vache rose est à plus de trente mètres)
-Quel est votre façon de prouver votre adoration sans limite et sans nom au chat de Schrömachin?
-Je m'égare.
Bon en tous cas la dernière proposition marche très bien.
D'accord pour rester dans la boite mais laissez moi la connexion internet!
Agaera ta réponse fait monter en moi...une question existentielle. Et si l'accord parfait résidait dans l'acceptation du choix des autres? On ne serait pas tout à fait du même avis mais quand même un ptit peu, ça fait un juste milieu comme être moitié mort moitié vivant.
Agaera ta réponse fait monter en moi...une question existentielle. Et si l'accord parfait résidait dans l'acceptation du choix des autres? On ne serait pas tout à fait du même avis mais quand même un ptit peu, ça fait un juste milieu comme être moitié mort moitié vivant.
C'est un peu ça.
Mais si tu pars du principe que l'avis des gens est facilement modulable par la manière dont tu présente les choses, que ce soit par l'angle de vue ou les mots que tu utilises, on peut dire que "l'avis des autres" est influencé par le tien.
Dans le cas où tu demande l'avis d'une personne sur une chose ou une autre, que ce soit par acquis de conscience, par nécessité, par intérêt ou par curiosité, le simple fait de demander son avis au sujet l'influencera dans sa réflexion.
Mais, si on considère comme tu le dis que "l'accord parfait résid[e] dans l'acceptation du choix des autres", et que ce choix est influencé par les conditions et les manières dont tu as exprimé ta demande (et nous sommes bien d'accord pour dire que des conditions standardisées seraient nécessaires pour vérifier cette théorie), alors l'accord ou le désaccord du sujet serait lié à ton avis (directement lié aux conditions de la demande d'avis), exprimé implicitement ou explicitement. Ce qui nous amène à penser que l'accord parfait réside dans l'explicitation d'une demande, soit des mots choisis, de la présentation du sujet, et des quelconques techniques de manipulations implicitement mises en œuvre. L'accord parfait serait lié à tes désirs et donc a toi même plus qu'à ton interlocuteur, qui aurait ainsi ton avis (de manière librement consentie, puisque tu n'impose rien).
Ce qui nous ramène à une question fondamentale : "sur le coq, où se trouve la bite" ?
(Pardon pour cette dernière question... Alexandre Astier <3)
Mais si tu pars du principe que l'avis des gens est facilement modulable par la manière dont tu présente les choses, que ce soit par l'angle de vue ou les mots que tu utilises, on peut dire que "l'avis des autres" est influencé par le tien.
Dans le cas où tu demande l'avis d'une personne sur une chose ou une autre, que ce soit par acquis de conscience, par nécessité, par intérêt ou par curiosité, le simple fait de demander son avis au sujet l'influencera dans sa réflexion.
Mais, si on considère comme tu le dis que "l'accord parfait résid[e] dans l'acceptation du choix des autres", et que ce choix est influencé par les conditions et les manières dont tu as exprimé ta demande (et nous sommes bien d'accord pour dire que des conditions standardisées seraient nécessaires pour vérifier cette théorie), alors l'accord ou le désaccord du sujet serait lié à ton avis (directement lié aux conditions de la demande d'avis), exprimé implicitement ou explicitement. Ce qui nous amène à penser que l'accord parfait réside dans l'explicitation d'une demande, soit des mots choisis, de la présentation du sujet, et des quelconques techniques de manipulations implicitement mises en œuvre. L'accord parfait serait lié à tes désirs et donc a toi même plus qu'à ton interlocuteur, qui aurait ainsi ton avis (de manière librement consentie, puisque tu n'impose rien).
Ce qui nous ramène à une question fondamentale : "sur le coq, où se trouve la bite" ?
(Pardon pour cette dernière question... Alexandre Astier <3)
Au final c'est donc l'autre qui accepterait mes idées sans que je les ai explicitement présentées, mais tout dépendrait de son interprétation personnelles des influences. On pourrait être d'accord dans le fond, mais suivant cette interprétation tomber en désaccord.
Dans le cas contraire si on demande un avis à une personne dont le caractère assez trempé la met en accord avec elle même, je veux dire quelqu'un dont les idées sont plutôt arrêtées, la part d'influence sera très réduite. Son libre arbitre sera juge de l'accord ou désaccord.
Pour la question subsidiaire je propose de chercher à tâtons (il faudra plusieurs coqs). Il suffit de donner un coup de pied au coq à un endroit précis et de voir si il chante plus aigu. Si après le coup son chant ne monte pas de deux octaves, recommencer l'opération à un autre endroit choisi, et ainsi de suite jusqu'à localiser précisément l'organe. Il est bien sûr interdit de gonfler le coq à l'hélium ou de demander la réponse à un poulet, c'est de la triche.
Dans le cas contraire si on demande un avis à une personne dont le caractère assez trempé la met en accord avec elle même, je veux dire quelqu'un dont les idées sont plutôt arrêtées, la part d'influence sera très réduite. Son libre arbitre sera juge de l'accord ou désaccord.
Pour la question subsidiaire je propose de chercher à tâtons (il faudra plusieurs coqs). Il suffit de donner un coup de pied au coq à un endroit précis et de voir si il chante plus aigu. Si après le coup son chant ne monte pas de deux octaves, recommencer l'opération à un autre endroit choisi, et ainsi de suite jusqu'à localiser précisément l'organe. Il est bien sûr interdit de gonfler le coq à l'hélium ou de demander la réponse à un poulet, c'est de la triche.
Donc si j'ai bien compris ce que tu veux dire Agaera, la demande doit se situer au sein d'un système hypothético-déductif qui prenne en compte le fait que l'observateur non seulement influe jusqu'à la réalité même de ce qui est observé, mais également fait cela en ignorant ce qui à l'insu de lui-même le représente en tant que signifiant dans la structure fantasmatique dont il est issu ?
Non Philoskat, enfin je ne pense pas.
Pour moi, l'observateur à une impression de contrôle des évènements (ou bien, dans le cas où il placerait l'acteur sur un piédestal, une impression de naturalité de la véracité des propos tenus par l'acteur, selon les conduites de la perceptions que l'observateur pourrait avoir de leur arbitraire), mais il n'en est rien. C'est d'ailleurs une base de la manipulation sociale, avec la liberté supposée.
L'acteur aurait, quand à lui, le rôle que tu as décrit pour l'observateur, et qu'en plus, dans certaines situations, l'acteur est conscient de son propre rôle dans le système hypothético-déductif. La conscience étant la seule porte permettant de différencier le discours explicatif de la manipulation, puisqu'on ne peut imputer à quelqu'un une chose qu'il n'est pas conscient de faire.
Mais ce n'est que mon avis :)
Pour moi, l'observateur à une impression de contrôle des évènements (ou bien, dans le cas où il placerait l'acteur sur un piédestal, une impression de naturalité de la véracité des propos tenus par l'acteur, selon les conduites de la perceptions que l'observateur pourrait avoir de leur arbitraire), mais il n'en est rien. C'est d'ailleurs une base de la manipulation sociale, avec la liberté supposée.
L'acteur aurait, quand à lui, le rôle que tu as décrit pour l'observateur, et qu'en plus, dans certaines situations, l'acteur est conscient de son propre rôle dans le système hypothético-déductif. La conscience étant la seule porte permettant de différencier le discours explicatif de la manipulation, puisqu'on ne peut imputer à quelqu'un une chose qu'il n'est pas conscient de faire.
Mais ce n'est que mon avis :)
Puisqu'il faut aller au fond des choses, alors allons y:
Un point de détail qui a son importance n'a pour l'instant pas été évoqué: il faut prendre en compte le point de vue de l'observateur qui par réflexe instinctif, le fait psychique de son inconscient, aura une tendance nerveuse à conserver un certaine tension musculo-sphinctérienne dont la force génératrice de pression rectalo-laryngo-pulmonaire induirait chez lui une rupture de fonction dans la majorité du système neurotransmetteur. L'induction subjective d'une quelconque pensée métaphysique serait alors compromise engendrant par elle même une poussée électrodynamique sur l'apophyse vocale des cartilages aryténoïdes ainsi que dans l'organe locomoteur de l'extrémité inférieure de la jambe, obligeant le dit sujet à tournoyer avec force vélocité sur lui même en s'écriant: "youpigaga!"
Ce qui forcément déstabiliserait son interlocuteur en engendrant une conjonctivite interrogative cérébrale (il se gratte la tête) et annulerait l'impression de domination intrinsèque de l'acteur.
Un point de détail qui a son importance n'a pour l'instant pas été évoqué: il faut prendre en compte le point de vue de l'observateur qui par réflexe instinctif, le fait psychique de son inconscient, aura une tendance nerveuse à conserver un certaine tension musculo-sphinctérienne dont la force génératrice de pression rectalo-laryngo-pulmonaire induirait chez lui une rupture de fonction dans la majorité du système neurotransmetteur. L'induction subjective d'une quelconque pensée métaphysique serait alors compromise engendrant par elle même une poussée électrodynamique sur l'apophyse vocale des cartilages aryténoïdes ainsi que dans l'organe locomoteur de l'extrémité inférieure de la jambe, obligeant le dit sujet à tournoyer avec force vélocité sur lui même en s'écriant: "youpigaga!"
Ce qui forcément déstabiliserait son interlocuteur en engendrant une conjonctivite interrogative cérébrale (il se gratte la tête) et annulerait l'impression de domination intrinsèque de l'acteur.
Le chat : Oui bien sûr, mais il ne faut pas oublier de prendre en compte l'activité hormonale dans ce cas, le stress et les autres trucs incompréhensibles qui vont me faire rater mes partiels.
Tu féliciteras ton Hamster, sa réponse est cohérente =)
Pietrux : une chose ne peut exister sans son antonyme (bien vs mal, richesse vs pauvreté, force vs faiblesse, Superman vs Lex Lutor, Batman vs la DMLA, Brice Hortefeux vs la Tolérance, etc), donc il faudrait que le mensonge absolu existe, ce qui n'a aucun sens a mon goût.
Tu féliciteras ton Hamster, sa réponse est cohérente =)
Pietrux : une chose ne peut exister sans son antonyme (bien vs mal, richesse vs pauvreté, force vs faiblesse, Superman vs Lex Lutor, Batman vs la DMLA, Brice Hortefeux vs la Tolérance, etc), donc il faudrait que le mensonge absolu existe, ce qui n'a aucun sens a mon goût.
Je t'envoie un colis cotonneux où j'y place mon hamster, il peux t'aider pour tes partiels. Il sait chuchoter à l'oreille sans se faire remarquer, se range facilement dans la poche et accepte tout type de nourriture. Son seul défaut est d'avoir un sérieux penchant pour la boisson, il faudra donc veiller à son jeun avant de l'emmener sous peine d'échec et de renvoi.
J'oubliais: prévoir une petite poche à urine sinon c'est moins agréable.
J'oubliais: prévoir une petite poche à urine sinon c'est moins agréable.