Hoa rune

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19.5/20
Et bien... Vous voulez vraiment que je vous raconte ? D'accord, vous l'aurez voulu.
Il était une fois, un type, tout à fait banal, chômeur depuis que sa fabrique de chaussette à effigie du patron de total avait fait faillite, il touchait les allocations chômages de l'époque, et ça faisait pas grand chose. Il était légèrement drogué et alcoolique, comme l'on fait remarqué les autres, mais son pire vice, c'était les vaches. Et oui, les vaches. Dès qu'il en voyait une, il tombait raide dingue amoureux d'elle.D'ailleurs, il était depuis quelques mois fou amoureux d'une limousine qui parquait près de chez lui. Mais pour son plus grand malheur, il ne parlait pas le langage des vaches... Alors, prenant son courage et son slip (deux fois trop grand vu qu'il n'avait pas bouffé correctement depuis...) à deux mains, il décida de faire un tour un normandie, pour y rencontrer le grand sage qui lui apprendrait comment communiquer avec l'objet de ses désirs. Il prit le train en vendant son slip à un homme d'affaire bourré,(très bourré) et il arriva bientôt en normandie. Là, il lui falait trouver le grand sage... Il chercha, traversa toutes la région de fond en comble, mais pendant près de deux ans, il ne trouva rien (Ne me demandez pas comment il a fait pour survivre, je n'en sait rien et ne veut pas le savoir).
Mais un beau jour de printemps, alors qu'il n'attendait plus rien de la vie et qu'il essayait de se pendre à un pont, René et Marguerite sont passé, en revenant de chez le vétérinaire. (Encore une fois, ne me demandez pas ce que marguerite y faisait, le médecin est tenu par le secret professionnel, il n'a pas voulu me le dire.) René, voyant le pauvre homme sautant pour essayer d'attacher son écharpe au poutres du pont (en effet, il était en dessous, et pour le temps qu'il y avait passé, il n'avait pas encore eu l'idée de grimper et de se jeter ensuite du pont, après y avoir attaché l'écharpe, et son cou à l'écharpe) Donc, René le prit en pitié et lui demanda ce qu'il faisait. C'est ainsi que notre héros reconnu le grand sage, le grand manitou, l'homme qui savait parler aux vaches ! (ça fait un peu slogan de film, non ?) Il lui demanda bien sur de lui apprendre, et René, en bon fermier campagnard acceptât. Pendant encore neuf mois, Il travailla dur pour apprendre la langue des vaches. Mais il y eu un problème. Il était tombé sous la crou...coupe de Marguerite, et lorsque René découvrit leur liaison un soir dans la grange, il le chassa à tout jamais de chez lui.
Il retourna donc dans son village, près de Paris, pour y retrouver la vache qu'il avait tant aimé pendant trois longues années sans pouvoir lui parler. Il ne se débrouillait pas trop mal, en vérité, mais là encore, un obstacle se dressa sur son chemin. Sa bien-aimée était sourde ! Complètement sourde ! Le pauvre homme, à qui il ne restait même pas de quoi se racheter un slip, et donc surement pas de quoi payer un appareil auditif à sa belle en fu réduit au langage des signes. Et comme les vaches n'ont pas la vue très haute ni le cerveau très rapide, il du se servir de tout son corp pour faire passer ses messages.
Quelques années plus tard, alors qu'on le prenait pour un fou dans son village, et qu'il avait perfectionné son langage corporel, une bande de jeunes des banlieux de Paris qui passait par là avec leur musique dans les oreilles trouva que les geste collaient bien avec le son et se mit en devoir de les reproduire, et comme les modes vont vite, bientôt, le monde entier connaissait la techtonik. Elle à pris le nom de celle des plaques par pur hasard, parce que quand les banlieusard ont demandé à notre pauvre homme comment "ça" s'appelait, ils ont fait un mouvement, et se mouvement signifiait "tectonique".
La pauvre vache, ne pouvant suivre toutes ces personnes qui lui "parlaient" en même temps décéda peut de temps après, bientôt suivie par son amoureux.
Ils avaient disparu, mais la techtonik était là.

Moralité: Bien mal aquit ne profite jamais. Aucun rapport. Pas grave.
Moralité bis: Il faut se méfier des vieilles vaches, des peaux de vaches, des vaches tout court, ils vous arrive toujours des vacheries avec elles.

C'était le pavé de Hoa rune, merci de votre attention.
19.5/20
Moi aussi, on m'a fait ça... Sur le buletin:
1er trimestre: Bavardages.
2eme trimestre: Bavardage.
3eme trimestre: Est ce bien la peine de le signaler ? De le répéter ? Est ce que j'ai bien fait de devenir prof ? J'aurais du devenir fleuriste, comme maman, ou m'engager dans l'armée, comme papa ! Là bas, au moins, il y a de l'ordre, de la discipline, du respect pour les supérieurs ! Mais en fait, c'est du chiqué tout ça. Derrière leur dos, on se foutait bien de leurs gueules, aux adjudants, pendant le service... AAaaah... C'était le bon temps... Mais avec ma phobie du sang, c'était impossible. Non, j'aurais mieux fait de devenir fleuriste. La nature, les oiseaux, se lever tôt le matin pour allez cueillir des fleures, ou pour accueillir le livreur, être polis, faire sourire les gens, Tout ça quoi...
Ici, les élèves n'écoutent pas, ils se foutent de ma gueule, ils ne m'aiment que quand je suis absents, ils sont paresseux, ils font pas leurs devoirs... Comment voulez vous que je mette quoique se soit dans leurs petits crânes ? Et ils auront leur bac, par élimination, ou pour remplir les cotas, malgré le vide intersidérale dans leurs têtes...
Quelle vie...

Mais je pense que si les profs récriminent de plus en plus, c'est parce que le niveau scolaire baisse de plus en plus lui aussi. Du coup, d'années en années, les classes sont de plus en plus nulles. Et grâce à qui ? Au ministère, qui allège les programmes d'années en années. Et sur qui ça retombe ? Sur les profs. Le monde est injuste, tout de même.
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